/* PRIVILÉGIOS DE SÍSIFO 反对 一 切 現代性に対して - 風想像力: OITENTA LISBOAS POR MINUTO

PRIVILÉGIOS DE SÍSIFO 反对 一 切 現代性に対して - 風想像力

LES PRIVILÉGES DE SISYPHE - SISYPHUS'PRIVILEGES - LOS PRIVILÉGIOS DE SÍSIFO - 風想像力 CONTRA CONTRE AGAINST MODERNISM Gegen Modernität CONTRA LA MODERNITÁ E FALSO CAVIARE SAIAM DA AUTOESTRADA FLY WITH WHOMEVER YOU CAN SORTEZ DE LA QUEUE Contra Tudo : De la Musique Avant Toute Chose: le Retour de la Poèsie comme Seule Connaissance ou La Solitude Extréme du Dandy Ibérique - Ensaios de uma Altermodernidade すべてに対して

2008-06-27

OITENTA LISBOAS POR MINUTO


Há cidades sistólicas, pensa-se logo em São Paulo, Pequim e Nova Iorque, outras diastólicas, como Londres, muitas cidades do Oriente em que o tempo cruzou os cornos com os cronómetros e Jerusalém. Mas há cidades que são pura paragem cardíaca: Lisboa é uma delas. Talvez porque se aproximou mais da forma e figura do labrinto, quer no entrançado das ruas, na disponibilidade dos becos para não terem saída, bem como nos múltiplos apelos das sereias inanimadas ou reanimadas, e que são desviantes.
Aberta a todos os mitos urbanos, admitindo no seu corpo mitos que nem sequer são dela, Lisboa é uma cidade devorante-passiva, onde devia ser obrigatório o porte de narguilé, e o vagar ao mesmo tempo complicado e simples de uma cervejaria do Cairo, onde não as há quase.
Vejamos como é bom ter alteridades de olhar e sentir, como os outros nos vêem, mesmo quando estamos prevenidos da sua presença:




Un voyage à Lisbonne

De Pessoa à Pessoa
lundi 25 juillet 2005 par Anna Sprengel
Jeudi 25 avril : 7h00. Mon corps agacé par un reste de nuit s’imprègne lentement du lieu : clarté grise de l’aéroport d’Orly ; la salle d’attente, vide et sépulcrale, est d’un blanc décevant. Le café s’appesantit sur mon (...)

Carnet de voyage à Lisboa

Diaro Lisboa
mercredi 23 mars 2005 par David Andrade
"Ville de plein de souvenirs, ville de joie, où à quelques minutes je trouve la plage, ville de vacances, c’est la ville que j’attendais petit toute l’année. J’y respire son air qu’une fois dans l’année, mais je (...)

Articles de cette rubrique

mardi 1er mars 2005 par Arnold Couchard
En slip et assis sur le coin du lit Paul Sentron n’était pas de bonne humeur. Il avait dû s’y reprendre à cinq fois - au moins - avant d’arriver à former le numéro de Marie-Claire. Les trois Drambuies avalés au bar de l’hôtel n’y (...)

jeudi 27 janvier 2005 par Mathias Lavin
De Lisboa la pointe extrême dépasse les limites strictes de la cité, elle s’étend jusqu’aux confins de Sintra. Là-bas les falaises apparaissent subitement. Je retiens, en noir et blanc, le lieu dit Aguda : "aiguë" pour mieux refléter le désir (...)

lundi 13 décembre 2004 par Andrée Bergeron
Regarde, regarde là en bas les lumières de la ville... C’est ainsi que je l’ai vue la première fois. Pas ici, non, juste un peu plus haut : sur le toit de la fac de sciences. La nuit très tard, un lieu désert et étranger. Des locaux alors si (...)

jeudi 2 décembre 2004 par Florence Lojacono
LISBONNE. 2 octobre 1987. 23° C. Orageux. Seconde visite à la Ville Blanche. De mon premier passage je ne garde aucun souvenir précis : ni de la ville que j’ai pourtant parcourue en tous sens, ni des œuvres d’art que j’aurais (...)

jeudi 18 novembre 2004 par Ana de Palma
C’est ainsi que je suis arrivé à Lisbonne, presque par la mer, avec tous ceux qui rentrent chez eux à la fin d’une journée. J’ai refais le voyage en ferry-boat depuis Seixal jusqu’à Lisbonne, en me répétant comme un refrain (...)

vendredi 12 novembre 2004 par Alexandre Chollier
Une ville vous touche en plein cœur et vous ne savez pourquoi. Des jours passent, des semaines aussi et c’est toujours l’incompréhension (incompréhension bariolée d’innocence) au fond de vous. Et puis un jour, au détour d’une (...)

dimanche 7 novembre 2004 par Marie-Louise Audiberti
L’air doux s’immisce dans les conversations pour les amortir. La femme ne cesse de marcher, elle gravit les escaliers, redescend plus loin. Une ville, il faut l’arpenter sans répit. Mais regarde au moins où tu marches ! Comment (...)

2 Comments:

Blogger Pedro Ludgero said...

Isto é muito interessante. Terá continuidade?

Abraço

12:36 da tarde  
Blogger Miguel Drummond de Castro said...

Pedro,

Espero que sim, as cidades - pelo menos algumas como Lisboa, Trieste, Barcelona- são intermináveis objectos e sujeitos poéticos de 1º, 2º e 3º grau.

Obrigado pela visita,

um abraço,

Miguel

2:33 da tarde  

Enviar um comentário

<< Home